Le titre de ce post n'a aucun rapport avec la situation géographique de Dakhla - pourtant il faut bien avouer que la ville est légérement paumée. Mais plutôt avec le manque d'informationS sur la programmation jusqu'à ce jour, alors que nous sommes à J-15..

Pour tout vous confier, cela fait plusieurs semaines que je cherche, que je visite désespérément le site officiel et que je tombe à chaque fois sur la même image avec marqué de bien jolie façon "en construction". J'en trouve mais pas de la croustillante et surtout pas de la fiable. Ben Harper à Dakhla. Je n'y croyais pas et j'avais raison - tristement.
La conférence de presse a lieu mardi ( le 5 février) me lançait Younes Lazrak en début de semaine. Peine a y croire j'avais. Pourtant oui, preuve en lisant le nouveau telquel où l'on parle de la programmation. Pas trop tôt.
Par grosse flemme de ma part, je place ci-dessous l'article en question que vous pouvez retrouvez ici : http://www.telquel-online.com/310/semaine_arts_310.shtml

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Mars 2007. Comme une bourrasque printanière, le Festival de Dakhla débarquait toutes voiles dehors dans l’horizon des grandes rencontres culturelles du royaume. Du 27 février au 3 mars prochain, la fête de la glisse et de la musique replante son bivouac géant dans la lagune du sud pour confirmer ses promesses. Après les affrontements nautiques des champions de surf, kitesurf et windsurf dans le grand large ou au creux du spot de Foum Labouir, place à la virtuosité acoustique. Si la rumeur d’un certain Ben Harper est tombée à l’eau, la scène de Dakhla
2008 n’en sera pas moins garnie, du roi du raï Khaled au folk éthéré de Daby Touré, de l’icône panafricaine Tiken Jah Fakoly au bogoss oriental Kazem Saher, en passant par la coqueluche du chaâbi Najat Atabou, le virtuose du break beat Eklips, le collectif touareg Désert Rebel, l’impertinent duo d’Origine contrôlée, l’icône guest-star Amazigh Kateb ou les mythiques Tagada. Honneur également aux porte-voix du hassani, Seddoum, Zghailina, Doueh et Ssalmou, pour une rencontre transculturelle avec la jeunesse urbaine de la nouvelle scène marocaine : H-Kayne, Fez City Clan, DJ Key, Haoussa et Bleu Mogador. Dans la chaleur du grand Sud, les platines de Zayane Freeman et Kinox fusionneront sous le nom de Zaynox, avant des fins de soirée délicieusement chillout, orteils en éventail face à l’océan. À moins de vouloir garder la forme pour les résidences du lendemain. Un bémol avant l’envol : hélas pour son festival !
Dakhla est mal desservie par les lignes aériennes.
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Voila on sait tout et moi je suis content, j'ai enfin mes infos.

http://www.dakhla-festival.com